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Date de création : 17.01.2009
Dernière mise à jour : 23.07.2009
20 articles


Le temps d'un souffle

Publié le 23/07/2009 à 19:52 par gotcha
Le temps d'un souffle
Le temps d'un souffle...
C'est le temps qu'il m'a fallut pour me décider à passer à autre chose.
C'est le temps qu'il m'a fallut pour savoir que j'avais réussi.
C'est le temps qu'il m'a fallut pour décider que c'était la fin.
C'est le temps qu'il m'a fallut pour dire au revoir.
C'est le temps qu'il m'a fallut pour me connecter et arrêter.

Le temps d'un souffle...
C'est le temps qu'aura vécu de blog.

Je n'ai pas été présente ces derniers mois.
Pour cause. Je n'en avais plus besoin.

Le temps d'un souffle...
Et c'est déjà fini.

[Sound : Da Tweakaz - Angeli Domini]

What I hadn't understood...

Publié le 23/04/2009 à 12:00 par gotcha
What I hadn't understood...
Ce que je n'avais pas compris jusque là, c'est que j'étais heureuse.
Ce que je n'avais pas compris jusque là, c'est que j'étais sortie de la dépression.
J'avais oublié ce que c'était d'être malheureuse, mal dans sa peau, fatigué de vivre.
Depuis quelques temps, même s'il m'arrivait de pleurer, de souffrir, jamais je n'avais repensé au suicide, à la mort ou à la scarification.
Ou pas en m'impliquant dedans.
Puis... Voilà que je reprends contact avec un ami...
Étonnamment, je l'ai vu tout de suite...

Et je me suis dit, "Mais merde, je vais bien !"


[Sound : Les filles de Camaret]

Je ne sais pas, / Je ne sais plus, / Je suis perdue.

Publié le 21/04/2009 à 12:00 par gotcha
Je ne sais pas, / Je ne sais plus, / Je suis perdue.
[Ne se reconnaît plus]
[Et tout ce que je vois dans mon reflet, ce n'est qu'une traînée]
[And now, how do we do to forget]
[Cœur brisé, âme sanglante, larmes piétinées]
[Tout, tout et tout]
[Je ne veux pas, je suis fatiguée]
[Laisse-moi t'oublier, laisse-moi partir]
[Je ne sais pas, je ne sais plus]
[Où j'en suis ?]
[All I need is you. Just you.]
[I'm afraid of you. I'm afraid for you.]
[I'm afraid of losing you.]
[Sei il mio migliore amico. E bene più ancora.]
[Ho paura. Sono terrificata.]
[I don't want to return back.]
[I am afraid. I am terrified.]
[Don't leave me ! Don't leave...]
[Je ne veux pas...]
[... Oublier]
[... T'oublier]
[... Partir]
[... Rester]
[... Vivre]

[Laisse-moi ! Reste !]

J'en ai marre de tout cela, de toute cette comédie, de toutes ces filles, de toi, de mes sentiments.
Je ne veux pas retourner en arrière, je ne veux pas revivre ce calvaire.
Mais je n'y arrive pas.
J'EN AI MARRE !


[Sound : Il pleut sur Nantes - Marie-Paule Belle]

Ill-Passion (II)

Publié le 11/04/2009 à 12:00 par gotcha
Ill-Passion (II)

On oublie que c'est pareil

A chaque fois.

On se rapproche,

On s'étreint,

On s'éloigne,

Puis on s'oublie.

Cycle de vie,

Cycle de chair,

Cycle de mort.

Sourire sarcastique

Mais cœur souriant ;

Puis âme sourire,

L'esprit distillé ;

Courir, retenir, lâcher...

Lassitude. Oublier.



[Sound : Les lacs du Connemara - Michel Sardou]

Ill-Passion (I)

Publié le 10/04/2009 à 12:00 par gotcha
Ill-Passion (I)

Oublie-toi, oublie-moi, oublions-nous.

Nous ne somme que deux êtres perdus dans le vent.

Toi le feu et moi l'air.

Je suis ton essence et tu me consumes quand nous sommes trop proches l'un de l'autre.

C'est à celui qui prendra le pas sur l'autre, à celui qui gagnera la guerre...

Mais nous ne faisons que nous détruire mutuellement, la passion nous dévorant.




[Sound : Mon mec à moi - Patricia Kaas ; Elle a les yeux révolver - Marc Lavoine]

(Re)Chute

Publié le 05/04/2009 à 12:00 par gotcha
(Re)Chute
Angoisse, besoin de lui, besoin de savoir... Un soir comme les autres. Un dimanche ensoleillé. Une soirée à angoisser... Sentiment(s) inexplicable(s). Sentiment(s) inavoué(s). Sentiment de solitude infinie... Impression d'être seule... Je sais que je ne devrais pas. Je sais que je ferais mieux d'oublier. De L'oublier. Mais c'est pire qu'une drogue. Tout va bien, je l'oublie. Puis il revient. Je vais mal. Puis tout s'arrange. Il est là. Je suis là. Nous sommes là. Puis il repart. J'ai mal au cœur. Je veux le voir. Mais je ne peux pas. Parce que je n'ai pas le droit. Soirée sans nouvelle. Fleurs de Bach en quantité pour tenter de me calmer. Pour reprendre le contrôle. Je l'avais oublié. J'avais choisi la facilité. Puis il est revenu. Puis je lui ai donné ce qu'il voulait depuis tant de temps. Puis j'ai obtenu ce que je voulais de lui. Puis il disparaît. Puis je me sens mal. Parce que je n'y arrive pas. Les prochaines semaines vont être dures. On avait dit pas de sentiments. Mais il est déjà trop tard. Je le sais. Je ne veux pas le dire. Je ne veux pas lui dire. Parce que se serait ma plus grande faiblesse. Avouer l'inavouable. Certains appelleraient ça du courage. Moi j'appelle ça de la lâcheté, car si je le faisais, ça serait comme si je m'étais fait parjure. C'est déjà le cas, pas la peine de le faire une fois de plus. Je sais bien qu'il n'y a que lui qui compte. Je sais bien qu'à chaque fois qu'il me détruit je dois me reconstruire. Qu'à chaque fois la reconstruction est un peu plus difficile.



Je replonge.


Et je ne sais pas si cette fois je ne me noierais pas.

Car nous sommes allés trop loin pour revenir en arrière.

Le processus final est enclenché.


[Sound : L'ex de ma vie - Agnès Bihl]

Le Loup...

Publié le 05/04/2009 à 12:00 par gotcha
Le Loup...
Un, Deux, Trois...
Trois détails, trois choses, trois fois rien...
Qui résument tout.

Voir le Loup, perdre ce qui restait de l'enfance...
Puis Le Petit Chaperon Rouge en oral blanc...
Et enfin cet éventail... Représentant cette scène...
Tout semble se rejoindre, drôles de coïncidences.

J'ai encore le sourire aux lèvres quand j'y repense ;
J'ai encore la tête ailleurs quand je pense à tout ces moments passés ensemble ;
J'ai encore cette étincelle dans les yeux de ce jour où tu m'as changée.

Je ne regrette pas que ce soit toi,
Je ne regrette rien de ce qui s'est passé, de ce qui se passera...
Et pourtant nous resterons deux,
Même si nous sommes un,
Et pourtant nous serons toujours désunis
Tout en étant unis.

[Sound : Le petit Chaperon Rouge - Charles Perrault]

0o'

Publié le 27/03/2009 à 12:00 par gotcha
0o'
Changement d'habitude, n'est-ce pas ?
Uh ?
Mais oui, voyons... Tu sais bien que...
... Je ne suis qu'une folle

Ah bah non, ce n'est pas ça que je voulais dire.
Non, non. C'est vrai.
And all that I can see is just another lemon tree.

Euh, non.
Let me rest in peace,

Let me get some sleep.

Ouais, ça y ressemble déjà plus.

0o'

[Sound : I live in Picardie - Fatals Picards]

Lonely day ? Or just alone...

Publié le 15/03/2009 à 12:00 par gotcha
Lonely day ? Or just alone...
Puisque vous partez tous et ne revenez,
Puisque vous semblez tous disparaître,
Je vais finir par me couper du monde
Pour ne plus vous voir partir un à un.

Je me suis toujours demandé ce qui,
Un à un, vous fait partir loin de moi.
J'avoue que vous me manquez tous,
Que je ne vais pas bien sans vous.


~~~~~~~~


Seule et solitaire sont mon quotidien,
Peur et angoisse ne me quittent plus.
C'est que je ne trouve plus le sommeil,
C'est que j'en ai peur de dormir seule.

Terreurs nocturnes et rêves angoissants,
Cauchemars répétitifs et solitude terrifiante.
Je vais bien, je vais mal, je suis instable,
Rires et Larmes ont chacun leurs tours de garde.


~~~~~~~~


Puisque je me tais
Mais

Que vous me manquez.


[Sound : Lonely Day - SOAD]

Les loups garous n’aiment qu’une seule fois

Publié le 05/03/2009 à 12:00 par gotcha
Les loups garous n’aiment qu’une seule fois
Les loups garous n’aiment qu’une seule fois. Jolie phrase, jolie légende. C’est beau, un amour unique, infini et plus fort que tout. Qui n’a jamais rêvé d’un amour éternel ? Qui n’a jamais voulu être sûr d’être toujours aux côtés de l’être aimé ?

… Qui n’a jamais pensé que l’amour d’un loup garou était forcément réciproque ?

Partout, où que l’on aille, quelque soit la personne à qui on le demande, l’amour qu’un loup garou porte à une personne est toujours réciproque. Où serait la légende, sinon ? Où serait le beau, le merveilleux de cette bête immonde si son amour ne lui était pas retourné ? Ce serait comme la Belle qui n’aime pas la Bête, comme le Prince qui n’aime pas la Belle au Bois dormant, comme Lancelot qui n’aime pas Guenièvre… Que serait chacun de ces personnages sans leur âme-sœur ? La Bête resterait une bête, la Belle au bois dormant ne se réveillerait pas, Guenièvre serait morte sur le bûcher…

Triste, n’est-ce pas ? C’est pourtant ce qui aurait été le scénario le plus probable si chacune de ces situations s’étaient produites dans la réalité… A moins que je ne sois l’exception qui confirme la règle. Ou alors, c’est que je suis pessimiste. Mais pessimiste, j’ai de quoi l’être.

Voyez-vous, j’ai toujours été comme ça. Louve solitaire, à courir seule sous la Lune, mère de tous. Rien ne saurait m’empêcher d’être libre, de jouir de ma liberté la plus stricte et la plus complète. Rien, à part… Non rien.

Je n’avais jamais aimé. Je n’avais jamais ressenti quoique ce soit pour quiconque. Non, jamais. Bien entendu, j’avais été attirée. Qui ne saurait l’être par un membre du sexe opposé, ou de son propre sexe. Après tout, chacun ses choix. Mais qui saurait résister à cette attirance ? Personne, à part peut-être une nonne ou un prêtre. Encore que, j’ai souvent des doutes quant à leur capacité à suivre leur serment de chasteté. Mais jamais je n’avais connu l’Amour, avec un grand A. Et non avec un grand tas. Bref. Jusqu’à ce que je le rencontre. À noter que ma première réaction fut de rejeter toute attirance, que ce soit physique ou psychique, pour lui. Je ne devais pas, je n’avais pas le droit. Je me l’interdisais. Et mon côté solitaire préfère plus que tout être seul qu’accompagné, que ce soit bien ou mal. Mais on ne peut pas toujours nier, on ne peut pas toujours se bercer d’illusion, et un jour, il faut bien reconnaître que l’on a tort, que ce n’est pas un simple gars qui passe par-là. Un jour, il faut bien le comprendre, quand on est au plus bas, que l’on aime, et que c’est à cause de ça que rien ne va. Cependant, comprendre est une bien belle chose quand on ne croit plus en rien. C’est bien beau de se dire que demain le soleil se lèvera, mais qu’on est trop enfoncé dans sa propre merde pour le voir se lever. Plus rien ne semble pouvoir avoir un effet bénéfique, plus rien ne semble pouvoir aller mieux. Puis… peu à peu, on commence à remonter la pente, mais pour cela, il a fallu un choc. Se voir dans la glace le matin et ne plus reconnaître le corps humain qui nous accueille est un exemple parmi tant d’autre. Mais c’est ça qui m’a fait comprendre que je ne voulais pas ça pour moi. Et c’est en me prenant en charge que j’ai commencé à admettre. Pas à accepter, non. Je n’étais pas prête à l’accepter. Mais je pouvais au moins admettre que je l’aimais, ce p’tit gars qui était arrivé dans ma vie un jour où je ne m’y attendais pas. La Louve en moi l’avait accepté dans sa vie, je pouvais bien faire cela pour elle. Puis le temps passe, puis il passe, puis il passe… Et un jour, alors qu’on semble s’en remettre, c’est l’autre qui ne va plus. Et alors qu’on avait oublié qu’on l’aimait, les sentiments reviennent à la charge. Mais on les accepte. Pas forcément à bras ouverts, par forcément de gaieté de cœur, mais on fait contre mauvaise fortune bon cœur. Le plus dur est d’admettre, mais ce n’est pas le plus long. Le plus long, c’est d’accepter. La route est sinueuse, entravée et longue, mais on peut arriver au bout. Il ne reste plus maintenant qu’à vivre avec. Apprendre à vivre avec un amour partagé n’est pas chose facile, ni chose rapide. Apprendre à vivre avec un amour non partagé est encore moins facile et encore moins rapide.

Ce soir, je suis là à observer la lune. Elle n’est pas pleine, mais bientôt.

Depuis plus de deux ans, mon côté humain a évolué.

Depuis plus de deux ans, mon côté Louve est de plus en plus prononcé.

Un loup garou n’aime qu’une seule fois dans sa vie, mais il arrive que parfois cet amour ne soit pas partagé. Mais le loup-garou peut aussi être heureux. Il peut aussi prendre sur lui. Et à défaut d’oublier, il peut vivre avec, il peut passer à autre chose sans tout à fait oublier. Et le loup garou peut alors sourire.

La Louve en moi est heureuse et elle sourit. Pas de toutes ses dents, mais elle sourit.

[Sound : Je survivrai - Larusso]